Emma

Il pleut. Le tambourinement de la pluie sur les vitres me rend nostalgique. Je suis assis sur une chaise, nu, près de la fenêtre, et je regarde rêveusement ces gouttes qui dessinent des arabesques sur le carreau mal lavé. Je pense à elle, à ses formes généreuses, son visage parfait. Et la porte s’ouvre … Emma apparait dans l’embrasure, vêtue seulement d’une petite culotte blanche. Elle s’avance vers moi, très doucement. A chaque pas sa poitrine se soulève et redescend dans un rythme langoureux. C’est merveilleux, jubilatoire, excitant. A travers sa culotte, on devine cette petite fente qui marque le tissu subrepticement.

Elle arrive devant moi se met à califourchon sur mes cuisses, tout près de mon entrejambe, en me faisant face. Elle passe ses mains derrière ma nuque tandis que je la saisis par le dos en décrivant de légers mouvements de caresses. D’abord, nos lèvres s’effleurent à peine et une tension se créée immédiatement. Le baiser devient plus appuyé et Emma tourne sa langue langoureusement dans ma bouche. Ça dure quelques minutes, puis je la repousse doucement. Elle laisse aller sa tête légèrement en arrière et je me saisis de son sein droit, le malaxant doucement, puis je l’embrasse, le suce et mordille doucement le téton jusqu’à ce qu’il devienne plus dur et proéminent. Avec ma main droite, je pelote son sein gauche mollement et enserre le mamelon, le frottant entre le pouce et l’index. Lui aussi devient plus raide et sort de son aréole. Elle soupire et est prise de légers tremblements d’excitation.  Moment magique. Elle sent alors monter mon envie, progressivement, qui appuie déjà sur son minou. Emma se lève alors rapidement, enlève sa culotte et vient très doucement se faire pénétrer. Tous deux, nous lâchons une plainte de plaisir, et nous restons un moment dans cette communion sublime de nos sexes. Toujours plus excité, je commence un léger mouvement de et vient, et lui enfonce ma verge vivement au fond de son sexe bien mouillé. Elle lâche un petit cri, un deuxième, puis se libéré complétement. Son excitation atteint son paroxysme et le petit cri devient un râle puissant, alors que je tremble de tout mon être, bouffi de plaisir. Le point de rencontre de nos jouissances semble proche. J’accélère encore le mouvement, elle crie oui- oui- oui ! Je la sens venir et je tente l’assaut final, mais…

…Merde ! Putain de réveil. Encore un rêve, une fiction…

Clodo