Emma à Milan

Le temps passe inexorablement lentement dans cette chambre d’hôtel de Milan. Le virus guette, impossible de sortir. Emma programme un film coquin sur son ordi. Elle éteint la grande lampe pour ne laisser que la lampe de chevet. Elle ne trouve pas le film intéressant, ils le sont rarement. Elle pense à son homme, si loin d’elle, et finit par se prendre au jeu de l’érotisme ambiant. Assise sur le fauteuil, elle ouvre son chemisier, remonte son soutient-gorges et commence à masser ses seins généreux. Des deux mains, elle se pince légèrement les tétons jusqu’à ce qu’ils deviennent tout pointus et bien durs. Elle sent l’excitation la gagner. Elle déboutonne son jeans, passe la main à l’intérieur de sa culotte et de son majeur commence à stimuler son clito alors que de sa main gauche elle continua à masser son buste. Rapidement, son doigt devient humide. Elle continue lentement, donnant des petits coups d’accélération, puis ralentit le mouvement. "Oh, que c’est bon", soupire-t-elle.

Alors qu’Emma, les yeux fermés poursuit son stimulus, son cœur se met à battre fortement quand elle entend qu’on frappe à la porte. Pétrifiée, elle ne bouge plus, retient son souffle. Elle n’attend pourtant personne. On refrappe plus fort. Elle prend peur…Puis la porte qu’elle avait oublié de fermer s’ouvre doucement et un homme souriant parait dans l’embrasure…

« Mon Chéri » ! hurla-t-elle en le reconnaissant. Un peu déboussolé de trouver son Emma dans cette tenue un peu débraillée, il s’approche d’elle, la plaque contre lui fiévreusement et ils échangent un long baiser passionné. Il la pousse vers le lit, la déshabille, puis prestement se met aussi à poil.

Les deux corps fébriles s’enlacent voluptueusement. La belle pousse son mec sur le dos, elle lui saisit son membre, retrousse la petite peau de son gland avec de petits mouvements savants de va et vient et il bande immédiatement. Elle lui fait une pipe endiablée. A son tour, il la positonne sur le dos, lui léche et suce son fruit qui est tout sauf défendu.

Ils reprennent leur étreinte et doucement et il la pénètre, sans aller trop vite pour ne pas jouir trop tôt. Elle glousse de plaisir et lui râle d’excitation. Ils varient les positions, prennent leur temps, et n’y pouvant plus, ils jouissent en même temps dans des éclats de voix d’une ardeur inouïe qui va certainement réveiller la moitié de l’hôtel.

Heureux et essoufflés, ils se serrèrent dans les bras et s’endormirent amoureusement.

Clodo